Sous les couleurs de Bodo/Glimt, Philip Zinckernagel retrouve la Belgique et affrontera l’Union Saint-Gilloise, ce jeudi soir au stade Roi Baudouin. Interrogé par nos confrères, le milieu offensif danois est notamment revenu sur son passage du Standard au Club de Bruges.
Prêté par le Club de Bruges à Bodo/Glimt, l’un de ses anciens clubs, Philip Zinckernagel retrouve la route de la Belgique, cette semaine, et affrontera l’Union ce jeudi soir au stade Roi Baudouin, en Europa League.
Une occasion qu’ont saisie nos confrères de Het Laatste Nieuws pour rencontrer le milieu offensif Danois, revenu, entre autres, sur la période lors de laquelle il a découvert la Jupiler Pro League, sous les couleurs du Standard de Liège.
J’ai toujours de bons contacts avec Fergal Harkin, un homme formidable. Mais quand le Club est venu, je n’ai pas pu refuser »
« Le Standard était vraiment un club dans lequel je me sentais bien. J’ai toujours de bons contacts avec Fergal Harkin, un homme formidable qui parvient à mettre sur pied une équipe compétitive dans des circonstances très difficiles à chaque mercato.
« Quand le Club est venu, je n’ai pas pu dire non. Surtout après le passage de Ronny. Sinon, je serais peut-être resté à Liège, même si le Standard ne pouvait pas payer d’indemnité. Je ne regrette pas mon transfert au Club de Bruges. Si c’était à refaire, j’aurais fait exactement la même chose. Et nous avons remporté le titre. C’est quelque chose qu’il faut chérir. »
Zinckernagel a joué tant que Deila était là, au Club de Bruges
Après une seule saison à Sclessin, Zinckernagel a rejoint son entraîneur et nouveau mentor, Ronny Deila, qui prenait la route du Club de Bruges. Le début de l’histoire s’est bien déroulé, mais la situation fut tout autre après le départ du T1.
« Au Standard, tout s’est bien passé. Nous avions un bon groupe qui n’a malheureusement pas pu rester ensemble. Les six ou sept premiers mois à Bruges se sont aussi bien passés, jusqu’à ce que je me blesse et que Ronny soit licencié. Ensuite, je n’ai plus beaucoup joué avec Nicky Hayen, mais j’ai tout de même prouvé que j’avais les qualités pour jouer dans l’élite belge, bien que je ne faisais pas partie de l’équipe-type chaque semaine », a conclu Zinckernagel.
Encore un qui doit regretter amèrement d’avoir quitté un Standard où il avait toujours sa place