LUIK, BELGIUM - DECEMBER 26: Noe Dussenne of Standard Lige during the Jupiler Pro League match between Standard Lige and SV Zulte Waregem at Maurice Dufrasnestadion on December 26, 2021 in Luik, Belgium (Photo by Jeroen Meuwsen/Orange Pictures) © Orange Pictures / Photo News ! only BELGIUM !
Comme au Standard, Noë Dussenne est capitaine de Lausanne-Sport. Mais l’environnement est complètement différent.
Même si l’équipe a un perdu du terrain ces dernières semaines, Lausanne-Sport reste une bonne surprise du championnat suisse cette saison. L’équipe est actuellement septième et espère bien remonter dans le classement. Noë Dussenne joue un grand rôle au sein du vestiaire. Régulièrement capitaine, il offre également sa robustesse à l’arrière-garde, marquant aussi cinq buts.
« En Suisse, il n’y a pas de pression liée au football. Lorsque tu te balades en rue, même au bord d’un lac torse nu — comme je l’avais fait l’été dernier car il faisait très chaud — personne ne me dit rien. Cela aurait été impossible de faire pareil au Standard de Liège. Tu n’as pas la même tranquillité », explique-t-il à Sacha Tavolieri pour Sky Sport.
« Cette qualité de vie, le fait de pouvoir tout faire avec mes enfants sans que personne ne te demande quoi que ce soit… c’est génial. Il n’y a pas cette pression négative qu’on retrouve souvent en Belgique car le football n’est pas le sport le plus populaire en Suisse, ils sont plus axés sur le hockey […] Ce qui est bizarre, c’est qu’ici, même en cas de défaite, tu ne reçois aucune réaction des supporters sur les réseaux sociaux. Pas un message », poursuit-il.
Le revers de la médaille ? Une ambiance moindre : « Le plus embêtant reste la faible affluence dans notre stade. On doit vraiment attendre les énormes affiches pour remplir nos tribunes ». La comparaison avec le Standard est frappante : « Parfois, lorsqu’on perdait un match, j’avais ce stress en arrivant au centre d’entraînement. Je ne savais pas si ma voiture allait être remplie d’œufs sur les vitres… ».
Le fanatisme des supporters rouches n’est pas un mythe : « Il faut savoir gérer les retombées, les digérer. Si tu es un peu trop actif sur les réseaux sociaux, tu peux rapidement paniquer et être sous pression. Lorsque tu as une vingtaine d’années, tu n’es peut-être pas prêt pour tout cela. Ici, on n’a pas cette pression ».
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