777 Partners est attaqué de partout par ses créanciers. Le fonds d’investissement américain continue d’entretenir l’opacité sur la situation du Standard.
Voilà déjà trois mois que 777 SDL, le propriétaire du Standard, aurait dû publier ses comptes annuels à la Banque Nationale de Belgique. Mais à l’heure actuel, cela n’a toujours pas été fait rapporte la RTBF.
Une situation qui tombe mal en cette période de rachat : ces comptes auraient pu aider à cerner la situation réelle des finances liégeois avant la publication des comptes du club prévue pour décembre.
Ces retards de publication ne sont pas rares en Belgique. Mais ils restent illégaux. 777 SDL, et donc plus largement 777 Partners, s’expose donc à des sanctions.
Le manque de transparce de 777 interpelle
La RTBF explique ainsi que le propriétaire civil pourrait être attaqué sur le plan civil « pour tout dommage qu’un tiers estimerait être une conséquence de ce défaut de publication », notamment par un créancier.
Sur le plan pénal, les amendes vont de 40 à 80 000 euros. « S’il apparaît que le non-respect de ces obligations est volontaire avec une intention frauduleuse, ce sont des peines de prison, allant de 1 mois à un an d’emprisonnement qui sont applicables » expliquent même nos confrères.
Pierre Locht a toutefois indiqué au média avoir bon espoir que tout soit réglé d’ici dix jours. Si des sanctions sont à la clé, elles ne devraient être prononcées que dans un an.
D’après ce que l’on écrit à l’internationnal, 777 n’a plus grand chose à dire. Ce sont les créanciers et en premier lieu A-Cap qui mènent la barque
cela personne ne le conteste mais la publication de l’état des comptes du standard est une obligation tant pout 777 que pour A-cap….