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L’échange avec Arnaud Bodart était-il envisageable ? Anthony Moris revient sur les rumeurs de l’été et sur ses plans à l’Union

Anthony Moris fait partie des meubles à l’Union Saint-Gilloise. Il veut continuer à s’y inscrire dans la durée.

Voilà quatre ans qu’Anthony Moris a rejoint l’Union Saint-Gilloise, alors en D1B, en provenance de Virton. Il ne s’attendait sans doute pas à la tournure que prendrait son aventure au Parc Duden. 190 matchs sous le maillot unioniste plus tard (dont 27 en Coupe d’Europe), il est un pilier du vestiaire et arbore d’ailleurs le brassard de capitaine.

« Etre capitaine de l’Union jusqu’à la fin de ma carrière ? Où est le papier ? Bien sûr. J’ai envie d’y jouer le plus longtemps possible. Je cherchais un club qui me correspondait. Aucun club ne me correspond mieux que l’Union. Que ce soit sur le terrain ou en dehors » explique-t-il à DAZN.

Dans son élément à l’Union

A 34 ans, le portier luxembourgeois se voit donc aller au bout de son contrat, valable jusqu’en 2026 (L’Union dispose même d’une année supplémentaire en option). « Le club est attaché à certaines valeurs. Dans le stade, les gens peuvent venir passer un moment agréable, ils ne voient pas de violence, n’entendent pas d’insultes. J’ai des enfants, ça joue énormément ».

Pourtant, cet été, son nom a été cité avec insistance au Standard pour un potentiel échange avec Arnaud Bodart. Mais Moris, qui habite Liège et a débuté sa carrière à Sclessin, est finalement resté à l’Union.

Il ne cite pas de club mais ne nie pas des discussions : « Oui, il y a eu des contacts, c’est sûr. Mais cela n’a pas été plus loin. D’autres joueurs ont aussi été approchés. Mais je suis resté très calme. Le mercato est finalement très vite passé, je suis très bien à l’Union ».

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