Troisième match en sept jours pour le Standard, qui recevra Saint-Trond ce samedi (18h15). Ivan Leko a préfacé cette rencontre en conférence de presse, et est revenu sur l’état physique de certains blessés.
Le Standard n’avait plus l’habitude. La réception de Saint-Trond, samedi soir (18h15), sera le troisième match en sept jours pour les Rouches. En conférence de presse, ce vendredi, Ivan Leko a fait le point sur son noyau, et sur les possibles retours de blessure.
« Ce sera difficile pour Doumbia. Marlon sera peut-être de retour, sa situation est évaluée progressivement. Pour le reste, il ne devrait pas y avoir beaucoup de changements. Zinho n’est pas encore près de revenir. Il n’a pas encore repris l’entraînement collectif. Pour la fin de saison, on ne sait pas encore s’il va pouvoir jouer. »
Qui réagira le mieux physiquement à l’enchaînement des matchs ?
À Saint-Trond et contre Malines, le T1 croate avait aligné le même onze de base. Toutefois, contre le Kavé, certains ont commencé à tirer la langue en fin de deuxième période. Il pourrait donc y avoir quelques adaptations contre les Trudonnaires, en fonction de l’état physique de chacun.
« C’est notre troisième match en une semaine, ça va devenir difficile physiquement. On va se baser sur l’état physique pour faire le onze de base. Certains joueurs qui étaient sur le banc pourraient démarrer, et vice-versa. En tout cas, on aimerait, une nouvelle fois, faire évoluer 15 joueurs. »
En début de Play-Offs, Ivan Leko avait évoqué la possibilité d’utiliser davantage des joueurs comme Seydou Fini, Ibe Hautekiet, Brahim Ghalidi et d’autres. À la moitié de ce mini-championnat, aucun des trois joueurs n’a reçu sa chance, ou presque. Sera-ce le cas lors de cette fin de saison ?
« Ces joueurs recevront leur chance, c’est une certitude. Cependant, c’est impossible pour moi de dire qu’ils seront tous les trois titulaires d’ici à la fin de l’année. On doit encore faire attention au plan physique ici, puis pour les quatre derniers matchs, il est possible qu’ils reçoivent plus de moments » a conclu Ivan Leko.