L’avenir du Standard est de plus en plus incertain. 777 Partners sera-t-il forcé de quitter le navire ?
Et vu la multiplication des signaux d’alarme envers la situation financière du fonds d’investissement américain, la possibilité est tout sauf nulle. D’autant que le 20 avril, marquant la date limite de la deuxième tranche de remboursement, est passée et que Venanzi attendrait toujours son dû.
Selon Sporza, Venanzi ne souhaite toutefois pas un retour à la tête du Standard, surtout pas de cette manière.
Venanzi et D’Onofrio peu intéressés
Il compte ainsi faire pression pour que le Standard soit vendu, et qu’un autre acquéreur reparte sur des bases plus saines. Des rumeurs font état de la possibilité de voir des investisseurs locaux prendre les rênes.
Du côté de SudInfo, on évoque même l’infime probabilité que Lucien D’Onofrio fasse son retour en bord de Meuse. A 69 ans, il ne serait pas intéressé par une telle opération « sauf s’il décide, dans l’optique d’un dernier challenge personnel, de s’entourer des bonnes personnes » précise le quotidien. Le Standard naviguera encore pendant quelques temps en eau trouble avant de savoir quel capitaine reprendra le navire.