L’actualité est très mouvementée au Standard de Liège. Les déboires financiers des propriétaires 777 Partners ont poussé l’ancien président Bruno Venanzi et l’immobilière du club à poursuivre la société américaine en justice.
Ces derniers jours ont été très compliqués à déchiffrer dans l’actualité du Standard de Liège. Il faut dire que 777 Partners accumule les casseroles.
Poursuivie devant la justice américaine pour une affaire de fraude majeure, 777 Partners est véritbalement à l’agonie. Au Standard, on parle très sérieusement d’un nouveau repreneur dans un futur proche.
La société n’a également pas respecté ses engagement envers l’ancien président Bruno Venanzi et l’immobilière du club. 777 Partners leur devait encore 3,5 millions d’euros d’une tranche de paiement (plus d’informations ICI).
777 Partners faisait donc objet d’une requête déposée afin de saisir les actions mentionnées. Sudinfo explique ainsi que le juge des saisies du tribunal de première instance de Liège a donné raison à Venanzi et à l’immobilière du club.
L’ensemble des avoirs que possède 777 Partners en Belgique – donc les comptes et les actions du club – a donc été saisi à titre conservatoire – comprenez « gelé ». Le jugement peut donc être exécuté. Les Américains ont désormais très peu de marge de manoeuvre.
Selon la RTBF, 777 Partners serait très probablement dans l’incapacité de payer l’immobilière et Venanzi. Ce dernier se retrouve donc face à deux options : négocier avec 777 Partners et forcer la vente du club et stade ; ou casser le contrat de vente et du stade.
Le juge des saisies du tribunal de première instance de Liège donne raison à Bruno Venanzi et aux actionnaires de l’immobilière dans le litige qui les oppose à 7️⃣7️⃣7️⃣ pour le non payement de la seconde tranche de 3️⃣,5️⃣M€ ❗️
Plus d’infos à venir sur @sudinfo_be— Kevin Sauvage (@KevSauvage) May 16, 2024